A Courtrai, en plein cœur des Flandres Belges, s’est tenu comme toutes les mi-janvier, les Vélofollies. Un salon du cycle enthousiasmant sur bien des points. A découvrir !
La Belgique est avec l’Italie, le pays du vélo !Les allées des Vélofollies 2020 en témoignaient autant que les stands. Le passionné qui s’y rendait pouvait découvrir tout ce qui a deux roues et des pédales pour se mouvoir. Avec ou sans moteur, car le VAE était avec le Gravel bien présent dans les Flandres !
Les vélos Belges
La Belgique ne produit pas que des champions, elle fait aussi des vélos ! Et ce salon est l’occasion de les voir. On retrouve des vélos aux noms plus ou moins connus, mais souvent avec des rapports qualité-prix étonnants. Bref, Outre-Quiévrain il y a des affaires à faire et des choses à découvrir loin des sentiers balisés…
Le Ridley Fenix SL Disc est un châssis très polyvalent.
Il est ici aux couleurs belges.
Le Ridley Kanzo Adventure est une machine parfaitement adaptée au Bike Pachking et au Gravel. Elle a été utilisée par Tim Wellens et Thomas de Gendt pour rentrer du tour de Lombardie 2018…
L’Eddy Merkcx Lavaredo 68 reprend les damiers Peugeot. En effet, le champion belge a fait ses débuts professionnels dans cette équipe.
L’Eddy Merckx San Remo 76 coûte 5 500 €. En Campagnolo Chorus.
C’est avec cet Eddy Merckx Strada en Acier qu’Oliver Naesen a terminé le Tour 2019. Le cadre est à 2 500 €.
Flanders est une marque belge comme son nom l’indique ! Le CX 500 est à moins de 3200 € équipé de la sorte…
Ce vélo Atom6 Ultima est belge lui aussi. Le cadre est vendu 1 200 €.
La marque c’est Ednine et ce Gravel Grinder Pro Plus dispose d’une fourche suspendue Lauf Grid. Un 29″ qui coûte 5 100 €.
Prorace est une marque Belge, le Randa DSQ vaut 6630 € en Dura-Ace. Des prix compétitifs.
Le guidon monobloc complète l’intégration totale des composants.
Le serrage de selle est parfaitement intégré sur le Prorace
Chez Prorace, on fait des peintures très design !
Le Thomson Maestro est le vélo polyvalent de la gamme. En version Pro en Ultegra mécanique, il vaut 3 500 €.
Chez Thomson, la gamme Diva se destine aux femmes. Le Blade Disc est ici à moins de 5 000 €.
Scoppio est encore une marque belge qui a des produits intéressants comme le SCR 301. Son cadre coûte 999 € et un montage en Ultegra mécanique commence à 2 495 €…
Les vélos « étrangers »…
Bien sûr, il y avait de très grandes marques de vélos aux Vélofollies, mais ce qui a attiré notre attention ce sont les noms que nous n’avons pas l’habitude de croiser sur des évènements hexagonaux et ceux qui ont proposé des choses étonnantes. Voici donc un petit tour d’horizon de ce qu’on pouvait voir là-bas en plus en matière de vélo, non Belge. Très subjectif mais bon…
Le Basso Diamante SV est le top de gamme du fabricant italien.
Il est soigné dans les plus petits détails.
C’est ce montage et ce cadre KTM Lisse que les B&B Vital-Concept vont utiliser cette saison. Mais dans un autre coloris…
Les vélos Frog sont destinés aux enfants. Ils sont étudiés pour être vraiment plaisants à utiliser.
Le champion de Belgique junior Arnaud de Lie utilise un Van Rysel, personnalisé maintenant ! Un coureur à suivre…
Arnaud De Lie a été chercher son titre au sprint après une longue échappée. La force d’un taureau !
Ce superbe vélo de cyclo-cross est un Van Rysel RCX. La marque monte en puissance avec les U19 Ag2R La Mondiale.
Les Triban sont aussi dans le Gravel ! Le RC 520 LTD2 coûte 999 €.
Ce Triban GRVL 120 est à 599 €. Une bonne entrée en matière.
Ventus est une marque néerlandaise qui produit des vélos très intéressants comme ce SLR 2 à 4 999 €.
Avec un tel mantra, on va forcément se dépasser !
Pilot est aussi une marque néerlandaise qui fabrique des vélos en titane, les premiers prix commencent à 3 800 €.
Van Nicholas est également un spécialiste des titane. Le Keyron coûte 8 700 €.
Le Van Nicholas Yukon également en titane est à 5 500 €, des tarifs assez « raisonnables ».
Le Time Alpe D’Huez 01 à disque est magnifique dans cette couleur.
La potence Time Monolink est toujours une belle pièce.
Le marquage argenté change de couleur suivant l’angle.
Dans cette couleur, Ramato le Wilier Cento 10 Pro est magnifique et à 11 000 €.
L’Origine Graxx est une machine de choix pour le Bike-Packing. Dans cette version, hors bagages, il faudra compter dans les 3 800 €.
Ce superbe Origine Axiome II GTR tout Campagnolo Super Record, il a une décoration qui sort de l’ordinaire !
Il y a des artistes pour personnaliser les cadres Origine !
L’Origine Axxome II GTR est une machine de choix pour le compétiteur. Dans cette version, il coûte 5 730 €.
Basso présentait aussi ses Gravel Palta. Des machines pour l’aventure !
Les hollandais étaient également de la partie avec Sensa qui propose le Giulia tout Shimano Dura-Ace Di2 à 6 400 €.
Plus accessible, le Sensa Romagna à disques coûte moins de 1 500 €.
Ce Gravel Norco Search XR C2 et coûte 3 700 €. Il utilise le groupe Shimano GRX.
Le Cinelli Superstar est dans la lignée des cadres de la marque avec une petite touche d’extravagance dans le décor !
Ce Cinelli Super Corsa est empreint de nostalgie, mais il est en 11 vitesses quand même !
Les têtes de fourche pentées et chromées, que de souvenirs…
Le Cube Agree C62: SLT est assez abordable avec ses 3 900 € et son équipement en Sram Force eTap AXS.
Les cycles Bertin étaient eux aussi présents avec des décorations qui sortent de l’ordinaire.
Le Bertin C37 joue aussi dans la catégorie des vélos aérodynamiques avec une intégration totale pour 5 350 €
Les vélos de triathlon, à l’image de cet Argon 18 E-117, sont également passés au disque !
Le Colnago C64 est une machine de rêve qui mixe classicisme et innovation.
Ce Pinarello Prince en version disque n’a rien à envier aux Dogma !
La marque tchèque Superior, ici le X-Road Team Issue à 5 500 €, propose de belles machines. Elles sont distribuées par Apesud en France.
Le Superior X-Road Elite coûte 1 700 € et se positionne comme un Gravel « sérieux ».
Le BMC Timemachine est toujours impressionnant en configuration triathlon.
Le BMC SLR 01 est un vélo de course très polyvalent, cette version vaut 9 500 €…
Le BH Core est un Ebike très discret. On ne voit rien ou presque de sa motorisation. Ici, c’est la version haut de gamme Race 1.6 à 4 000 €.
Le Rose X-Lite 6 Disc est toujours le haut de gamme route du fabricant allemand. Ici, il est en Dura-Ace pour 6 200 €.
Le Rose BackRoad est un Gravel équipé en Sram Force eTap AXS et coûte 3 500 €.
Le Kuota Khan Disc fait belle figure en Campagnolo Record. Une machine encore chez les pros l’an passé.
Le nouveau Kuota Kougar est agressif dans ses lignes.
Le Bianchi Infinito XE est une version plus abordable de l’Infinito CV. La géométrie a été un peu revue également.
Italvega est une marque hollandaise qui produit de belles machines dans l’air du temps. Ici, c’est l’Essaie Vivo à 6 400 € en Record.
Chez De Rosa, il y avait toute la gamme et notamment le Protos.
Parlee fabrique des machines d’exception. Ses vélos sont toujours à l’avant garde comme le RZ7 un aéro très pur dans ses lignes.
Le 3T Strada est toujours surprenant avec son design aéro agressif.
Des VAE de route bien évidemment
Nous ne sommes pas dans l’exhaustif, mais la tendance vue sur le salon est le choix du système Ebikemotion X35 pour les vélos sportifs. Cela permet de conserver des lignes « dynamiques », de rendre l’assistance quasi invisible et de contenir le poids. Nombre de marques prestigieuses font confiance à ce système. L’autre système qui connait de l’actualité, c’est la motorisation Polini qu’on retrouve aussi sur des marques italiennes prestigieuses. Un système qui permet aussi d’avoir plusieurs batteries sur le même cadre…
Olmo produit aussi un VAE de route sur la base d’un moteur Polini. Il se nomme E-Bro et coûte moins de 6 000 €.
Bianchi utilise le moteur Ebikemotion X35 sur son Aria Eroad.
Le Bertin E34 est un VAE de route équipé d’un moteur Polini et d’une transmission Sram eTap. Le kit cadre-moteur-guidon est à 5 300 €.
Sur le Wilier Cento 10 Hybrid, la commande est située de façon discrète juste derrière le cintre.
Le Colnago E 64 est le VAE route de la marque ! Il utilise un moteur Ebikemotion X35 comme nombre de ses concurrents. Discret et efficace.
Les roues et les pneus
Il n’y avait pas forcément de nouveautés en termes de roues et de pneus à Courtrai, mais il y avait des marques et des produits méconnus de ce côté de la frontière. Des options à découvrir…
Les roues Icon brillent par leur rapport qualité prix.
Duke était présent aussi à Courtrai avec des roues spectaculaires comme les Baccara 78 C.
Mais également avec des produits plus « accessibles » comme les Lucky Star Ultra.
Corima a décliné toute sa gamme en version disque. Sauf les MCC.
Les roues Miche Reflex sont parfaites pour l’entraînement.
Enigma est une autre marque de roues belges. A des tarifs surprenants.
Les roues Zpeed ont des tarifs particulièrement attractifs.
Pour la pluie, IRC propose l’Aspite Pro Wet un pneu de 205 g…
Pour le sec, il y a l’Aspite Pro Dry, un tubeless à 245 g, ou un pneu à 205 g.
Wolfpack est utilisé par Astana. La marque a été créé par un technicien qui a travaillé pour Continental, Schwalbe Specialized… Il s’agit ici du boyau.
Le pneu Wolfpack vous en rappelle sans doute d’autres…
Les composants et accessoires…
Voici une petite sélection de ce qui a retenu notre attention dans les allées des Vélofollies 2020. Là encore, point trop de nouveautés, mais plein de choses intéressantes, voici notre choix, là encore toujours subjectif !
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La transmission hydraulique Rotor 13 vitesses trouve sa place sur tous les vélos.
Les pédales Time Cyclo 6 se destinent au cyclotourisme et au Gravel.
BBB propose des outils pour les freins à disques et les maillons rapides.
Chez SKS, l’AirSpy vous renseigne sur la pression de vos pneus.
L’AirSpy est connecté au smartphone.
Les capteurs de puissance 4iiii sont toujours d’actualité.
Le Garmin Edge 130 est l’entrée de gamme « complète » des GPS de la marque.
Stages Power propose désormais ses propres compteurs utilisés par l’équipe UAE.
L’entretien
Nos amis belges roulent par tous les temps et ils entretiennent donc bien leurs vélos ! Voici quelques produits aperçus là-bas. En plus de Morgan Blue bien sûr qu’on ne présente plus !
Décathlon propose une cire lubrifiante qui dépasse la Squirtlube. La dosette vaut 8 €.
Le dégraissant Décathlon vaut 10 €.
Les lubrifiants de couleurs Wend sont en plus très efficaces.
Crankalicious propose toute une gamme de produits pour entretenir son vélo.
Zefal présentait, en plus de ses pompes et bagagerie, sa ligne de lubrifiants.
Les vêtements
Et pour finir, quelques textiles et accessoires qui sont dans les tendances actuelles. Visibilité, protection anti pluie, confort et performance sont de la partie.
Les Ekoi PersoEvo 9 ont été choisies par Lotto-Soudal. Elles coûtent de 100 à 130 €.
Ekoi propose aussi les Premium 70, avec des prix de 100 à 130 €.
Ekoi propose également une nouvelle chaussure haut de gamme qui coûte 400 €.
Elles sont fabriquées par Luigino Verducci.
Décathlon propose une ligne de vêtements haute visibilité.
Pour la pluie, SpatzWear propose des solutions pour avoir les pieds au sec.
Ce surchaussure SpatzWear Legalz2 est autorisé en course !
Les chaussures Santic sont personnalisées meilleur grimpeur.
Le modèle phare de casque Oakley est l’Aros 5 à 250 €.
L’Oakley Aros 3 coûte lui 180 €.
Le casque Lumos Matrix dispose d’un éclairage de signalisation intégré. Comptez 250 €.
Andrea Taffi s’est reconverti dans les vêtements cyclistes.
Assos présente une tenue qui tient chaud tout en étant ventilée. La tenue Spring Fall coûte 500 €.
Son cuissard dispose de bretelles qui sont fixées sur le fond du cuissard.
Photos : Crédit Frédéric Iehl
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Ce qu’il y a de surprenant c’est qu’une majorité de cadres se ressemblent . seul les ténors comme Pinarello colnago Basso qui apparement doivent être les seuls avoir leur propre service d’ingénierie et de R end D restent uniqueS .
c’est à se demander si les autres n’achètent pas leur cadre a un seul fabricant asiatique.
Le truc détestable c’est aussi pour trop de marques et notamment les grands généralistes américains et taïwanais!!! cette détermination à nous imposer les disques c’est moche ça reste plus lourd mal pratique et les interventions dessus sont mal aisées et pour quels pseudo bénéfices????? Cela reste très pénible, car pour ceux qui ont investit dans trois ou quatre paires de belles roues c’est assurément un frein au renouvellement sur le haut de gamme . L’avantage c’est que ça alimente un beaux marchés de l’occasion . Chercher l’erreur induite par une industrie qui déjà a très mauvaise presse quand à son souci écologique…. les directeurs du marketing se fourvoient n’ayant pas encore intégré que nous avons changer d’époque et si ils continuent dans cette impasse « philosophique » leur clients iront donner du travail au façonnier de cadre haut de gamme sur mesure carbone acier ou titane car chez Sarto victoire levacon ou kerautret on obtiens encore ce que nous voulons .
Les logiciels utilisés en conception et en simulation dans les bureaux d’études sont les mêmes d’un fabricant à l’autre… Les passages en soufflerie donnent aussi les mêmes résultats. Tout ceci débouche sur des solutions identiques pour combiner légèreté, rigidité et plus ou moins d’aérodynamique. De plus si une marque a un produit qui marche, les autres essaient de s’en rapprocher. C’est valable pour les grandes marques qui développent leurs propres produits, mais aussi pour celles qui fabriquent des cadres génériques vendus sous d’autres labels. D’où l’uniformité du marché en matière de cadres. Pour les cadres métalliques cela a toujours été le cas d’une certaine façon. On a des tubes toujours plus ou moins cylindriques et identiques dans leurs caractéristiques mécaniques et les « petites » différences portent en fait uniquement sur la coupe du cadre, sa finition et sa qualité de fabrication.
Pour l’arrivée en force et forcée du disque, rien n’oblige le pratiquant à acheter. Vous avez raison ,quand on a un parc de roues de qualité, on peut envisager de les utiliser jusqu’à usure complète décalant l’investissement dans un nouveau vélo de plusieurs années. Le marché de l’occasion peut en bénéficier, les chiffres de vente des vélos à disque peuvent aussi être impacté ou pas. Ce qui est vrai en revanche, c’est qu’il y a de moins en moins de nouveautés et de produits dédiés aux freins à patins dans les catalogues… Et donc même si on a du budget et des cadreurs capables de réaliser des cadres pour freins à patins, on aura du mal sans doute à trouver dans le futur des fabricants de transmission qui proposeront des composants pour le freinage sur jantes. On a encore quelques années devant nous quand même…
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Awesome post! Keep up the great work! 🙂
Ce qu’il y a de surprenant c’est qu’une majorité de cadres se ressemblent . seul les ténors comme Pinarello colnago Basso qui apparement doivent être les seuls avoir leur propre service d’ingénierie et de R end D restent uniqueS .
c’est à se demander si les autres n’achètent pas leur cadre a un seul fabricant asiatique.
Le truc détestable c’est aussi pour trop de marques et notamment les grands généralistes américains et taïwanais!!! cette détermination à nous imposer les disques c’est moche ça reste plus lourd mal pratique et les interventions dessus sont mal aisées et pour quels pseudo bénéfices????? Cela reste très pénible, car pour ceux qui ont investit dans trois ou quatre paires de belles roues c’est assurément un frein au renouvellement sur le haut de gamme . L’avantage c’est que ça alimente un beaux marchés de l’occasion . Chercher l’erreur induite par une industrie qui déjà a très mauvaise presse quand à son souci écologique…. les directeurs du marketing se fourvoient n’ayant pas encore intégré que nous avons changer d’époque et si ils continuent dans cette impasse « philosophique » leur clients iront donner du travail au façonnier de cadre haut de gamme sur mesure carbone acier ou titane car chez Sarto victoire levacon ou kerautret on obtiens encore ce que nous voulons .
Les logiciels utilisés en conception et en simulation dans les bureaux d’études sont les mêmes d’un fabricant à l’autre… Les passages en soufflerie donnent aussi les mêmes résultats. Tout ceci débouche sur des solutions identiques pour combiner légèreté, rigidité et plus ou moins d’aérodynamique. De plus si une marque a un produit qui marche, les autres essaient de s’en rapprocher. C’est valable pour les grandes marques qui développent leurs propres produits, mais aussi pour celles qui fabriquent des cadres génériques vendus sous d’autres labels. D’où l’uniformité du marché en matière de cadres. Pour les cadres métalliques cela a toujours été le cas d’une certaine façon. On a des tubes toujours plus ou moins cylindriques et identiques dans leurs caractéristiques mécaniques et les « petites » différences portent en fait uniquement sur la coupe du cadre, sa finition et sa qualité de fabrication.
Pour l’arrivée en force et forcée du disque, rien n’oblige le pratiquant à acheter. Vous avez raison ,quand on a un parc de roues de qualité, on peut envisager de les utiliser jusqu’à usure complète décalant l’investissement dans un nouveau vélo de plusieurs années. Le marché de l’occasion peut en bénéficier, les chiffres de vente des vélos à disque peuvent aussi être impacté ou pas. Ce qui est vrai en revanche, c’est qu’il y a de moins en moins de nouveautés et de produits dédiés aux freins à patins dans les catalogues… Et donc même si on a du budget et des cadreurs capables de réaliser des cadres pour freins à patins, on aura du mal sans doute à trouver dans le futur des fabricants de transmission qui proposeront des composants pour le freinage sur jantes. On a encore quelques années devant nous quand même…